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isabelle debrÉ - Page 7

  • LA PRÉSIDENTE DE L’ASSOCIATION L'ENFANT BLEU EST UNE ELUE DE VANVES : ISABELLE DEBRE

    Le conseil d’administration de l'Enfant Bleu - Enfance Maltraitée, a élu Isabelle Debré à la Présidence de cette association fondée voilà près de 30 ans. L'Enfant Bleu - Enfance Maltraitée accompagne les victimes dans leur reconstruction et travaille activement auprès des institutions politiques pour faire évoluer la loi afin de mieux protéger les enfants.

    En 2016, elle a publié un Livre Blanc « 20 propositions pour renforcer la protection des enfants victimes de maltraitance ». Elle lancera, d'ici la fin de cette année, un annuaire géolocalisé permettant d’identifier toutes les institutions et les interlocuteurs compétents afin d’aider l’enfant en danger. «Depuis plus de 25 ans je milite au sein de l'Enfant Bleu : c'est l'une des associations les plus actives qui soit et je suis heureuse d'en assumer aujourd'hui la présidence. Dans le respect des objectifs fondateurs de l’association, nous veillerons à toujours être une force de propositions et d’actions concrètes afin de lutter contre la maltraitance des enfants. La fatalité ne peut justifier le long calvaire des jeunes victimes de la maltraitance» explique Isabelle Debré, qui est, par ailleurs conseillère départementale de Vanves(Clamart) et vice présidente du Conseil départemental

    Elle a d’ailleurs retrouvé le Sénat, où elle a siégé entre 2004 et 2017, pour être auditionné à propos du projet de loi sur les violences sexuelles et sexistes. Si cette association salue l'allongement du délai de prescription des crimes contre les mineurs de 20 à 30 ans, elle regrette cette timide avancée sur le non consentement des mineurs. « En effet, le Gouvernement se limite à la redéfinition des notions de contrainte et de surprise, sans toucher au cœur du problème : la présomption de non-consentement du mineur. En l’état actuel du droit, la victime doit démontrer qu’elle a subi un viol par contrainte, menace, violence ou surprise. La revendication de L’Enfant Bleu est de renverser la charge de la preuve en mettant en place une présomption de non-consentement de l’acte sexuel partant du principe qu’un mineur de moins de 15 ans ne peut être consentant ».

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    DES SENATORIALES VALIDEES

    Isabelle Debré ne reviendra pas au Sénat. Le Conseil constitutionnel a définitivement validé le scrutin du 24 Septembre  en rejetant les deux recours déposés le 4 octobre. Les 7 sénateurs avaient été auditionnés le 27 Mars dernier mais c’étaient Roger Karoutchi et Philippe Pemezec, qui étaient visées par ces deux recours initiés par Ingrid Desmedt (LR), une élue de Levallois qui n’avait pas acceptée les 11 voix qui manquaient à sa liste dissidente. Il en manquait moins pour l’ex-sénateur de Vanves qui n’a fait aucun recours malgré le déroulement de ce scrutin (qui laissait à désirer ) à la préfecture des Hauts de Seine. Le conseil constitutionnel a finalement estimé que les irrégularités soulevées n’étaient pas suffisamment étayées pour remettre en question le résultat des élections 

    ELECTIONS EUROPEENNES

    Pour Gabriel Attal député LREM de Vanves-Issy (10éme circonscription des Hauts de Seine) qui a lancé la campagne pour le scrutin de 2019 avec Bruno Le Maire, ministre de l’Economie samedi dernier, dans un restaurant à Issy les Moulineaux «notre capacité à nouer des alliances avec d’autres forces progressistes, est un gros enjeu. Il en va de notre crédibilité. Nous allons montrer que nous sommes en capacité de renverser latable en Europe et pas seulement un parti dans un pays » expliquait il dans le Monde ce week-end

    GREVICULTURE A DESSEIN

    Ce terme de « gréviculture » qui a créé l’indignation des syndicalistes  et fait grincer les dents chez les députés LREM lâché au micro de France Inter le lundi de Pentecôte par Gabriel Attal, aurait été encouragé par ses chefs selon un écho politique  du Point. «Evidemment dans la bouche d’un ministre, ça se serait mal passé. Ni chez Grivaux, ni chez Castagner, encore moins via Elisabeth Borne. Cela dit, ils le pensent tous » selon le Point qui rapporte les propos d’un conseiller. « Gabriel a sorti le terme de son chapeau. Ca leur a plu, ils lui ont dit de foncer »

  • LES ENFANTS ET VANVES : DEBRE UNE ARDANTE DEFENSEUR DE LEURS DROITS

    Alors que Vanves inaugurait les travaux de requalification de son square des droits de l’enfant, le Sénat examinait une proposition de loi faîte par Philippe Bas sur la protection de l’enfance en reprenant certaines propositions faîtes par l’association l’enfant bleue qu’Isabelle Debré préside.

    Et notamment un amendement déposé par les sénateurs Laure Darcos et Doineau qui visait à renforcer les sanctions pénales encourues en cas de non assistance à personne en danger ou de non-dénonciation de mauvais traitement sur mineurs de moins de 15 ans. «Les chiffres de la maltraitance infantile sont alarmants. Dans 86,8 % des cas, les violences ont lieu au sein de la cellule familiale et elles sont souvent répétitives. Pour lutter contre ce fléau, il importe d’agir sur les entourages familiaux en les responsabilisant davantage. L'article 223-6 du code pénal, qui consacre la non-assistance à personne en danger, punit d'une peine d'emprisonnement de cinq ans et de 75 000 euros d'amende quiconque s’abstient volontairement d'empêcher la survenance d'un crime ou d'un délit, cette même peine s'appliquant à celui qui n'aura pas porté secours à une personne en péril » expliquaient ils en déposant cet amendement qui insère dans cet article un troisième alinéa dont l'objet est d'aggraver la peine encourue dès lors que la victime possède la qualité de mineur de moins de quinze ans. Et qui proposait de faire de la minorité de la victime une circonstance aggravante de l’infraction